Après mon bac, je commence des études d’Histoire à Paris VII-Jussieu. Deux ans plus tard, après beaucoup de parties d’échecs, de trajets de RER et de chansons de Radiohead, je ressens l’envie d’explorer la notion de patrimoines.

Un été, alors qu’aucun plan vacances entre copains ne se dessinait, je m’inscris un peu par hasard à un chantier bénévole de restauration de patrimoine.

Un lavoir au Pays basque, un ancien mur en Auvergne, etc.

Les planètes s’alignent, je commence peu à peu, à me trouver .

Après 3 ans d’étude en « Mise en valeur touristique du patrimoine » à l’Université d’Artois, je prends un énorme choc culturel en rejoignant un Master 2 Tourisme au sein du Groupe Sup de Co La Rochelle.

Enorme choc culturel, qui me fera le plus grand bien.

Nous sommes en 2007 et le numérique fait ses pas dans les industries culturelles et touristiques.

Pendant 5 ans à Paris, je travaille en tant qu’ingénieur commercial dans l’écosystme start-up /tourisme, d’abord dans le monde de cartographie en ligne puis dans celui du contenu touristique et du SEO.

En parallèle, j’arpente énormément Paris, ses musées, je découvre la science-fiction par Pierre Bordage, la photographie et le dessin.

Puis, peu à peu, d’autres envies naissent en moi, de voyages et d’indépendance.

En 2012, avec ma compagne, entrepreneure dans le tourisme culturel, nous quittons appartements et travail pour un tour du monde d’une année.

Installé en Touraine en 2013, je découvre l’écosystème entrepreunariat puis commence une activité freelance, dans le domaine du contenu culturel et touristique et de la médiation culturelle numérique.

Je réalise des missions de prospection commerciale, d’avant-vente, de réponse à appel d’offres et de chef de projet tourisme culturel numérique en freelance.

Entre 2016 et 2018, je co-fonde depuis Tours, Ulysse Solutions un logiciel qui produit des tableaux de bord de pilotage afin d’aider les destinations touristiques à prendre des décisions éclairées grâce aux données. Beaucoup d’apprentissages, une super équipe, mais une cible d’acteurs publics, qui reste difficille à appréhender pour une jeune entreprise.

En 2019, j’ai commencé à intervenir dans l’enseignement supérieur; d’abord quelques heures par an, avant de m’engager dans la durée avec les écoles et instituts de formation. En 2020, ma rencontre avec le no-code a été déterminante car cet environnement me permet concrètement, encore aujourd h’ui, de donner vie à mes idées, envies et projets.

A ce jour, j’opère plusieures activitiés : prestataire/freelance, entrepreneur, formateur et maker.

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